Les pilules de deuxième génération ne sont plus commercialisées en France. Les pilules de 3e génération sont toujours contre-indiquées mais elles peuvent être remplacées par un stérilet au cuivre.
L’ANSM met en garde contre des boîtes de pilules 3e génération contenant un mélange de 40% de lévonorgestrel et de 60% de noréthistérone. L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) met en garde contre des boîtes de pilules 3e génération contenant un mélange de 40% de lévonorgestrel et de 60% de noréthistérone et appelle les femmes qui utilisent les pilules 3e génération à demander un contrôle de leur contraceptif à leur médecin traitant.
La pilule de troisième génération est actuellement commercialisée en France et elle est appelée à remplacer progressivement la pilule de deuxième génération. Les pilules de troisième génération, également connues sous le nom de « pilules œstroprogestatives », sont moins dosées en œstrogène et elles contiennent en outre de la progestérone synthétique. Elles peuvent provoquer des maux de tête, des troubles de la libido ou encore des dérèglements hormonaux tels que des bouffées de chaleur. Leur efficacité contraceptive est pourtant jugée « supérieure à celle de la pilule œstroprogestative », d’après le ministère de la Santé.
Ces pilules sont également contre-indiquées chez les femmes ayant des antécédents de troubles cardiovasculaires et de troubles du rythme cardiaque ou qui ont des antécédents de migraines sévères.
De plus, ces pilules de troisième génération ne sont pas adaptées aux femmes qui ont une peau grasse ou qui ont une tendance à l’acné. En outre, les effets secondaires de la pilule de troisième génération sont plus importants, notamment des problèmes de peau tels que des taches brunes.
La pilule œstroprogestative est plus dosée en œstrogène et présente un risque accru de migraines
La pilule œstroprogestative est un type de pilule de deuxième génération qui contient également de la progestérone synthétique. Elle est également appelée « pilule œstroprogestative ».
Le lévonorgestrel et la noréthistérone sont deux œstrogènes de synthèse qui sont utilisés comme composants de la pilule. Ils sont également présents dans la pilule contraceptive de troisième génération.
L’œstrogène est utilisé pour provoquer l’ovulation. L’œstrogène de synthèse agit également comme un agoniste des récepteurs œstrogéniques et est utilisé pour provoquer l’ovulation chez les femmes qui n’ovulent pas naturellement. L’œstrogène de synthèse peut également être utilisé pour aider à diminuer les symptômes prémenstruels tels que les bouffées de chaleur.
La progestérone est un composé hormonal synthétique qui agit comme un agent anti-œstrogénique et est utilisé pour aider à réduire les symptômes du syndrome prémenstruel. La progestérone de synthèse agit également comme un agent anti-gonadotrope et est utilisée pour aider à augmenter la fertilité chez les femmes.
La pilule œstroprogestative contient de la progestérone de synthèse et des œstrogènes. La pilule œstroprogestative contient également un progestatif, le noréthistérone.
La progestérone synthétique est généralement associée à un œstrogène de synthèse, tandis que la progestérone de synthèse est généralement associée à un œstrogène de synthèse. Cependant, il existe certaines exceptions à cette règle.
La progestérone de synthèse est plus dosée en œstrogène et présente un risque accru de migraines. La progestérone synthétique est également plus efficace que la progestérone de synthèse pour réduire les symptômes prémenstruels.
De plus, les pilules œstroprogestatives présentent un risque accru de caillots de sang et peuvent provoquer des saignements entre les règles. Les pilules œstroprogestatives peuvent également augmenter le risque d’endométriose et de cancer de l’endomètre.
La pilule œstroprogestative est moins dosée en œstrogène et présente un risque accru de migraines
Elle est également appelée « pilule œstroprogestative » ou « pilule œstroprogestative de troisième génération ».
La progestérone de synthèse est également utilisée comme agent anti-œstrogénique et est utilisée pour aider à réduire les symptômes du syndrome prémenstruel.
La progestérone synthétique est également utilisée comme agent anti-gonadotrope et est utilisée pour aider à augmenter la fertilité chez les femmes.
La progestérone de synthèse agit également comme un agent anti-œstrogénique et est utilisée pour aider à réduire les symptômes du syndrome prémenstruel.
La progestérone de synthèse est généralement associée à un œstrogène de synthèse, tandis que la progestérone de synthèse est généralement associée à un œstrogène de synthèse.
La progestérone de synthèse est moins dosée en œstrogène et présente un risque accru de migraines. La progestérone de synthèse est également moins efficace que la progestérone de synthèse pour réduire les symptômes prémenstruels.
La pilule œstroprogestative est plus dosée en progestérone
Elle est également appelée « pilule œstroprogestative de troisième génération ».
La pilule œstroprogestative contient de la progestérone de synthèse et de la progestérone naturelle. La progestérone de synthèse est généralement associée à un œstrogène de synthèse et est utilisée pour aider à réduire les symptômes du syndrome prémenstruel.
Les pilules œstroprogestatives ne sont plus contre-indiquées
Les pilules œstroprogestatives ne sont plus contre-indiquées mais elles peuvent être remplacées par un stérilet au cuivre.
Dernier rappel des pilules de deuxième génération : le 15 mars 2018, l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) a rappelé que les pilules de deuxième génération contenant un mélange de 40% de lévonorgestrel et de 60% de noréthistérone étaient toujours contre-indiquées. L’ANSM recommande également de demander un contrôle de votre contraceptif à votre médecin traitant.
Cela fait 10 ans que les pilules de deuxième génération sont retirées du marché français. Le ministère de la Santé a cependant annoncé qu’il allait demander à la commission européenne d’ouvrir une procédure d’examen de ces produits. Il s’agit d’une nouvelle étape dans la procédure réglementaire de retrait de la pilule. Il a été annoncé par le ministre de la Santé que les professionnels de santé devront demander le retrait des pilules de deuxième génération en pharmacie à partir du 15 mars 2018.